Historique - Géologie - Minéralogie

Le Cahier des micromonteurs / 3 – 2023 / 161
Partie de Le Cahier des Micromonteurs séries :
Éditions :Périodique grand format
Pages : 150

Comme une coïncidence qui met le Le Keymar à l'honneur dans deux périodiques français, en même temps, à l’automne 2023 (eh oui, c’est aussi par ici : Le Règne Minéral — 173).

Au sommaire :

  • Résumé (Cédric Lheur)
  • Situation géographique
  • Historique
  • Description des travaux miniers
  • Géologie, gîtologie
  • Minéralogie
  • Perspectives, conclusion
  • Remerciements
  • Bibliographie
Parution :
Maison d’édition : Association Française de Microminéralogie
Éditeurs :
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Extrait :

Éditorial de Robert Pecorini

Dans ce numéro spécial du Cahier des Micromonteurs, c’est à un grand voyage que nous vous convions, un voyage dans les profondeurs de la terre, mais aussi à travers le temps.

Notre destination : la mine du Kaymar, située au cœur de l’Aveyron. Préparez-vous à découvrir les secrets de cette mine aujourd’hui endormie ! L’auteur, Cédric Lheur, en guide expérimenté, nous entraîne dans un périple à travers les paysages pittoresques de l’Aveyron, jusqu’aux entrailles mêmes de la mine. Un bel hommage à la nature et à l’histoire qui rythment ce territoire depuis des siècles.

Au fil des pages, vous serez surpris par la richesse et la diversité des espèces minérales de la mine du Kaymar, une mine pourtant exploitée pour le fer et la fluorite ! Des cristaux aux couleurs éclatantes et aux faciès « curieux » s’offrent à votre imagination… de micromonteur passionné.

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Mais au-delà des minéraux, Cédric nous invite également à nous interroger sur l’histoire humaine qui se cache derrière l’exploitation de cette mine. À travers des anecdotes, il nous dépeint la vie et le dur labeur des mineurs qui ont bravé les profondeurs de la terre pour en extraire le minerai. Une manière de rendre hommage à tous ceux qui ont œuvré pour constituer ce patrimoine, et de nous faire comprendre l’importance qu’il y a à préserver cet héritage avant que le temps ne l’efface de notre mémoire : le devoir de mémoire, c’est aussi une des raisons d’exister de l’AFM.

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