La revue de l’Associazione Micromineralogica Italiana
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J’adhère à l’Association Française de Microminéralogie depuis une quinzaine d’années. Je suis donc lecteur depuis au moins aussi longtemps du Cahier des Micromonteurs. Si je parle de l’AFM en introduction de cette revue italienne, c’est parce que régulièrement on parle, dans le Cahier, de l’AMI, l’Associazione Micromineralogica Italiana (notamment dans le cadre de bourses et de rencontres[1]J’ai entendu parler d’un projet de convention de coopération, vers 2004/2005, entre l’AFM et l’AMI, ainsi que leur équivalent belge, le 4M (ou Quatrem), mais je n’ai jamais su si cette … Lire la suite), qui est l’équivalent italien de l’AFM. Et l’AMI a son propre journal, Micro. Au fil du temps, j’ai accumulé un certain nombre d’exemplaires de Micro[2]Moins, néanmoins, que d’exemplaires de la Rivista Mineralogica Italiana.(grazie mille à Andrea, qui se reconnaîtra), avant de sauter le pas et de m’abonner en 2025.
Publié depuis 2003
La revue a été créée en 2003. D’abord avec deux numéros par an, puis trois, pour finalement adopter un rythme trimestriel en 2023. Les membres de l’AMI reçoivent donc maintenant quatre numéros de Micro chaque année.
DOI ?
À l’instar d’autres revues de minéralogie, les articles de Micro sont référencés, depuis 2022, par un DOI qui facilite leur citation dans les publications scientifiques. C’est un peu la reconnaissance du caractère rigoureux des articles publiés dans la revue, rendu aisément « citables ».
Dans sa numérotation, chaque année de la revue représente un volume. 2025 est le volume 23 (le DOI du dernier article de 2025 est 10.57635/MICRO.2025.23.20), et 2003 le volume 1 (même si les DOI ne sont apparus qu’en 2022, comme je l’ai dit).
Je vais commencer mon inventaire par les exemplaires que j’ai reçus par abonnement, puis j’ajouterai, toujours en remontant le temps, les exemplaires que j’ai acquis et lus avant cela. Il y aura certainement des lacunes que je tente, comme pour les autres revues, de combler au gré des acquisitions pour ma bibliothèque. Vous noterez qu’en plus des sommaires, j’indique les DOI des articles avec le lien correspondant. Ces liens sont précieux, car ils pointent directement sur la première page de l’article, mise à disposition par l’AMI sur leur site, au format PDF (uniquement la première page, pas l’article en entier).
Notes
| ↑1 | J’ai entendu parler d’un projet de convention de coopération, vers 2004/2005, entre l’AFM et l’AMI, ainsi que leur équivalent belge, le 4M (ou Quatrem), mais je n’ai jamais su si cette convention avait été signée. Le projet de convention est disponible sur le site de l’AMI, ici : https://32d3d7e0-39ee-44a4-90f1-3b60ee6be4be.filesusr.com/ugd/f95ede_b0acc1850a8e435d8f0c1864aadb736c.pdf. Je vais enquêter. |
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| ↑2 | Moins, néanmoins, que d’exemplaires de la Rivista Mineralogica Italiana. |
